Nom et prénom: Connor Frais-Smalah.

Age: Jeune adulte.

Traits de caractère: Etourdi, froid, ermite, rat de bibliothèque et bienveillant.

Signe astrologique: Verseau.

Préférences: Musique classique, poisson et frites, couleur grise.

Souhait à long terme:Devenir auteur professionnel (obtenir 4000 Simflouz de droits d'auteur).

Etat civil: Marié à Edith Smalah et frère de Jean Frais.

Bon, c'est quoi cette embrouille? Elle est où ma villa gigantesque? *sort le contrat chiffonné d'une de ses poches* Alors, blablabla... 15 Court d'Estiville... Blablabla... Terrain avec vue sur la mer... Blablabla... Ah tiens, j'viens de remarquer qu'il y a un texte en petits caractères en bas! Hum... Mouais, j'me suis fait avoir comme une débutante. Eh bien, je ne suis pas prête d'obtenir cette villa. Cela m'apprendra à signer des papiers sous l'influence de l'alcool.

Bon, c'est pas tout ça mais faudrait peut-être que je me bouge les fesses si je veux trouver au plus vite un boulot. À ce que je sache, les pluies de billets verts n'existent pas encore. Sinon, je suppose aussi qu'une présentation s'impose. Je m'appelle Edith Smalah. Je suis une jeune adulte qui vient de signer un contrat pour un Legacy sur dix générations après une soirée bien arrosée. Maman m'a toujours dit que je ne tenais pas l'alcool mais tête de mule que je suis, j'en fais toujours qu'à ma tête. Et voilà le résultat... Je suis courageuse (ce sera le trait familial. Bah oui, on n'est pas des mollusques dans ma famille!), cordon bleu, tournée vers la famille, plus que romantique et grande gamine. Je suis née sous le signe astrologique du Scorpion. Mes préférences sont la musique classique, les spaghettis et la couleur bleu-vert. Mon souhait à long terme est de devenir célèbre chef cinq étoiles. C'est donc pour cela que je vais de suite poser ma candidature au restaurant le plus célèbre de Sunset Valley: le "Bistrot Le Petit Corse". On dit qu'il a la meilleure réputation de toute la ville.

Edith: Au "Bistrot Le Petit Corse", s'il vous plait.

Chauffeur: Bien, Mademoiselle. Rectifiez-moi si je me trompe mais vous êtes nouvelle, n'est-ce pas?

Edith: Vous ne vous trompez pas, je suis bien nouvelle.

Chauffeur: Eh beh m'pauvre fille, j'vous plains. Vivre comme ça sans isolations et à la belle étoile, ne vous fais pas peur?

Edith: Très gentil à vous de retourner le couteau dans la plaie... Non, je n'ai peur de rien. Je suis courageuse, moi!

Chauffeur: Eh bien, moi aussi, je suis courageux mais rien que de penser à la prochaine pleine lune, j'en ai des frissons dans le dos.

Edith: Comment ça la prochaine pleine lune? Qu'est-ce qu'il s'y passe?

Chauffeur: Oh vous le découvrirez bien par vous-même en temps et en heures...

Après m'avoir, vite fait-bien fait, déposé devant le restaurant, je me suis dirigée à l'intérieur en espérant qu'ils me donnent un poste. Quelques minutes plus tard : Bingo ! Comme ils sont en rupture de stock niveau personnel, ils m’ont engagé sans aucun problème. Si j’avais su, je ne me serais pas taper le popotin par terre avec cette fichue lettre de candidature. Bon, je ne vais quand même pas râler puisque j’ai finalement eu un poste. Pour l’instant, je travaille au poste de Commise. Je vais être payée 25 Simflouz de l’heure, de 15h à 21h, du lundi au mardi et du vendredi au dimanche. Mon patron s’appelle Morane Français.

Direction ensuite la bibliothèque se trouvant juste à côté du restaurant où je travaille. J’y suis restée quelques heures, jusqu’à la tombée de la nuit. Grâce à mon trait « cordon bleu », j’ai pu vite assimiler un point de cuisine. J’en ai encore besoin de deux autres si je veux obtenir ma première promotion.

Pendant que j’étais en train de lire, mon esprit se détourna un instant de ses occupations quand trois mâles sont entrés dans la bibliothèque. Comme je ne connais encore personne (mis à part un chauffeur de taxi), j’ai laissé de côté mon bouquin pour aller les saluer. Malgré ma mémoire de poisson rouge, j’ai retenu leurs noms : Stiles Gravet, Connor Frais et Jean Frais.

Après avoir blablaté un certain moment, je me suis rendue compte que j’avais plus d’affinité avec Connor Frais qu’avec les deux autres. Le Stiles Gravet m’a paru assez froid et le Jean Frais est un de mes collègues de travail mais pas mon style physiquement. J’ai appris aussi qu’il était le frère de Connor. Nous avons donc commencé à faire connaissance. J’ai pu apprendre certains traits de sa personnalité ainsi que son travail et tentons le tout pour le tout, s’il est marié ou célibataire.

Je pense avoir trouvé en Connor mon futur mari… Il est vraiment adorable. Connor travaille dans le journalisme et est Vérificateur d’orthographe. Il a fait ses études à l’école militaire Fort Strike (ahah quel jeu de mot !). Son signe astrologique est le verseau. Le plus important dans tout ce que j’ai appris sur lui, c’est qu’il est célibataire ! Je ne vais donc pas avoir de mal à le séduire. Je suis plus que romantique, ne l’oublions pas.

Quand j’ai vu que la nuit était tombée, j’ai laissé Connor à la bibliothèque. Ce n’est pas qu’il m’ennuyait. Loin de là ! Mais comme demain, c’est ma première journée de travail, il faut que je sois fraiche et disponible. Ce serait vraiment bête de déjà faire mauvaise impression, le premier jour. Il faut en plus absolument que je gagne de l’argent si je veux payer mes prochaines factures. Parce que pour l’instant, je ne vous dis pas dans quel état est mon portefeuille ! J’ai donc expliqué ma situation à Connor et il l’a bien compris. C’est vraiment une perle, ce Connor ! Foi d’Edith Smalah, je l’aurais comme mari !

Deuxième jour sur ce terrain. Le réveil a été assez pénible. Vite que j’obtienne de l’argent pour m’acheter un lit digne de ce nom. Mes pauvres petits lombaires… Il faudra aussi que je m’achète une cuisinière parce que les céréales datant de la préhistoire, ça va un moment. Les pancakes que faisait ma mère commencent à me manquer. C’était la belle vie à cette époque ! Allez, je termine mon bol, je me prends une douche et ensuite, direction la bibliothèque pour améliorer ma compétence en cuisine.

Et hop ! Deuxième point de cuisine obtenu. Plus qu’un point et je vais enfin obtenir ma première promotion. Pendant que j’étais en train de lire, j’ai reçu un coup de téléphone de mon travail. Ils m’ont proposé une opportunité que j’ai acceptée sans rechigner. Elle consiste à manger avec d’autres personnes au restaurant le « Bistrot Le Petit Corse ». Si je la réussis, ils m’ont dit que ma performance au travail s’améliorerait. Et qui dit amélioration de la performance au travail, dit promotion ! Pensez bien que je n’ai pas refusé. Dans mon cas, je ne peux pas faire la fine bouche. D’un autre côté, cela tombe à pic : j’inviterais Connor au restaurant. Bon, ce n’est pas tout ça mais je dois laisser de côté mon livre pour mon travail…

Je viens d’aller à ma première journée de travail. Encore 50 ans à tirer avant de prendre une belle retraite. Malheureusement pour moi, je n’ai pas encore eu de promotions. Je n’ai pas encore les compétences nécessaires pour passer à l’échelon suivant, qu’ils m’ont dit. Par contre, ils m’ont encore donné une opportunité que j’ai encore acceptée. Elle consiste à rapporter un bon repas de groupe à mon patron. Si je la réussis, je gagnerais de l’argent. A moi, les flouflouz ! Pfiou, finalement, travailler en tant que Commise, c’est fatiguant. N’empêche, j’ai quand même été payé de 149 Simflouz.

Retour au bercaille. J’ai hate d’être mercredi pour inviter et revoir Connor. Je crois que je suis tombée amoureuse. Aaaah, je sens que je vais faire de beaux rêves cette nuit.

Le lendemain matin, je suis partie me changer les idées au parc. J’en ai profité pour cuire quelques saucisses. Cela va me changer des céréales.

Bon… Vous n’avez rien vu, hein ! Personne ne regarde… Allez hop, on le remet sur le grill. Ca fera une saucisse aux fines herbes.

Après avoir partagé mes saucisses grillées avec le peu de personnes dans le parc (j’ai bien pensé à ne pas prendre la saucisse aux fines herbes), j’ai eu une illumination. Et si je téléphonais à Connor pour prendre de ses nouvelles ? Mais Monsieur a coupé court à notre conversation. Il devait aller à son travail et m’a demandé de le rappeler cinq heures plus tard. Sachez, mon cher, que dans cinq heures, je serais moi aussi au travail. Donc, votre coup de fil, ce sera pour demain !

En me dirigeant vers le restaurant, j’ai trouvé deux pommiers dans un coin reculé du parc. J’en ai profité pour les récolter. Je les replanterais plus tard quand j’aurais un jardin.

A la sortie de mon travail, j’ai fait une rencontre bizarre. Vous voyez le personnage à ma gauche entouré d’une aura bleue ? Eh bien, cette personne est en train de se transformer en zombie. Un zombie ! Mais qu’est-ce que c’est que cette ville ? Toutes les personnes autour de moi sont en train de se transformer. En tout cas, dès que j’ai vu la voiture de covoiturage arrivée, j’ai vite sauté dedans. Je tiens à ma vie humaine, moi. Sinon, je n’ai toujours pas eu de promotions mais ça ne saurait tarder. J’ai encore reçu ma paie de 149 Simflouz et j’ai rencontré tous mes collègues : Jean Frais et Emma Hatch.

Eh bien, j’ai bien fait de prendre la poudre d’escampette. Vlà ici un nouveau monstre : un loup-garou.

Pendant la nuit, j’ai eu la visite d’un autre zombie. Même si j’ai le trait courageux, je peux vous dire que je tremblais comme une feuille sous ma couette. Bah quoi ? Vous ne  ferez pas dans votre slip si un zombie venait se poster juste à vos côtés pendant votre sommeil ? En tout cas, je comprends maintenant le charabia du chauffeur avec cette fameuse pleine lune. Quand elle est pleine, c’est la fiesta partout dans la ville, la nuit, avec ces fameux monstres. Bien vite que j’ai des murs et un toit !

Pfiou, quelle nuit ! Ce zombie de malheur est resté planter devant mon lit jusqu’au lever du soleil. Je n’ai pratiquement pas fermé l’œil de la nuit. Heureusement que c’est mon jour de congé aujourd’hui car je suis d’une humeur exécrable.

Et voilà mes premières factures : 15 Simflouz. C’est encore raisonnable quand on le compare à mon taudit. Par contre, mon portefeuille tire un peu la tronche. Le manque d’argent commence à sérieusement se faire sentir.

Comme je suis en congé et pour me redonnais du peps, j’ai téléphoné à Connor pour l’inviter chez moi.

Edith: Allo ? Connor? C’est Edith. Dis-moi, est-ce que ça te dit de venir chez moi aujourd’hui ?

Connor : Non, désolé, je suis au travail jusque 14h. Rappelle-moi après cette heure-là et je te dirais si j’ai quelque chose de prévu ou non.

Edith : Oh d’accord, je comprends. A toute à l’heure alors…

Finalement, Connor a pu venir après son travail. Par contre, j’ai été très surprise quand il est arrivé sur mon terrain. Qu’est-ce que c’est que ce truc qui clignote dans son dos ? V’là autre chose maintenant : Connor est une fée… Super ! On m’a réservé quelle surprise ensuite ? Une baguette magique va  sortir d’une de mes oreilles ? J’aurais vraiment tout vu…

Après avoir ravalé la pilule et mis mes préjugés de côtés, j’ai quand même été le saluer. Bah oui, il n’est pas venu pour rien, le pauvre. Et fée ou pas fée, il deviendra mon mari. Point barre. Comme je suis plus que romantique, je n’ai pas eu du mal à percer sa carapace. Enfin, je n’ai pas su percer totalement sa carapace. J’ai appris de nouveaux traits de caractère : Connor est froid et n’aime pas draguer. Il veut se faire désirer, le petit chenapan.

Se faire désirer… Ou pas. Tête de mule que je suis, j’ai foncé tête baissée en lui demandant s’il voulait passer la nuit avec moi. Bam ! Premier râteau. Soi-disant qu’il ne me connaît pas assez… Mouais. Ensuite, j’ai pris mon courage à deux mains en voulant l’embrasser. Re-bam ! Deuxième râteau pour les mêmes raisons. Comment voulez-vous que j’arrive à faire quoi que ce soit avec un frigo pareil ? Je vais finir par croire que je ressemble à un thon. Pourtant je me suis brossée les dents, ce matin…

Allez, râteau pour râteau, je lui ai avoué mon attirance pour lui en lui offrant un bouquet de rose romantique. Cela lui a apparemment fait chaud au cœur. Aussitôt le bouquet pris, Connor est rentré chez lui. Il avait eu une dure journée et était très fatigué. Avant de partir, il m’a quand même donné un petit bisou sur la joue en me chuchotant à l’oreille qu’il avait passé un super rencard. Toi, mon coco, demain, tu es à moi !

Il y a des jours où il vaudrait mieux rester au lit… En effet, ce matin, mon patron m’a appelé, furax, car je ne lui avais pas apporté un bon repas. J’ai donc raté ma deuxième opportunité et vu ainsi quelques Simflouz passés sous mon nez. Bah, je me rattraperais pour la prochaine opportunité qui est de ramener des cookies à l’école. Et pour couronner le tout, j’ai voulu réinviter Connor à la maison mais celui-ci m’a gentiment envoyé baladé sur les roses. Monsieur n’avait pas envie de sortir de sa tanière.

De retour à la bibliothèque où j’obtiens deux nouveaux points en cuisine. Et voilà, à mon prochain jour de travail, je vais enfin obtenir cette promotion tant attendue !

Le soir même, j’ai ré-réinvité Connor. Après l’avoir bien dragué, je lui ai proposé de rester dormir cette nuit. Et devinez quoi : on s’est enfin embrassé. ENFIN ! Il était grand temps. Pour être sûre qu’il ne me file plus entre les pattes, on s’est stabilisé. Il m’a avoué avoir aussi des sentiments pour moi mais comme c’est un grand timide, il n’osait pas. Mon Dieu que je suis heureuse !

Après la demande de stabilisation, nos fiançailles et notre mariage intime se sont précédés. On était tellement pressé et puis de toute façon, on n’avait pas l’argent nécessaire pour organiser un mariage. Ce n’est pas grave, on s’est dit et promis qu’on allait célébrer de grandes fêtes pour les mariages de nos futurs enfants.

Edith : Connor Frais, veux-tu me prendre pour épouse, m’aimer et me protéger ainsi que de me jurer fidélité jusqu’à ce que la mort nous sépare ?

Connor : Oui, je le veux. Et toi, Edith Smalah, veux-tu me prendre pour époux, m’aimer et me protéger ainsi que de me jurer fidélité jusqu’à ce que la mort nous sépare ?

Edith : Oui, je le veux.

Appelez-nous désormais Monsieur et Madame Smalah.

Le lendemain nous avons fait appel à un architecte pour commencer à construire un semblant de maison. Avec l’argent qu’à ramener Connor et la vente de sa voiture, nous avons pu récolter un total de 5580 Simflouz. Par contre, Connor a gardé son ordinateur portable. Cela va lui être très utile pour son travail et son souhait à long terme qui est de recevoir plus de 4000 Simflouz en droit d’auteur. Pour l’instant, il n’a pas encore écrit un seul roman. Il serait peut-être temps de t’y mettre, mon chéri.

Grâce à son ordinateur, il a pu améliorer sa compétence en écriture. Pour lui, un bon écrivain doit, avant d’écrire un roman, avoir déjà plusieurs points de compétence en écriture. C’est pour cela qui n’a encore commencé aucun roman. Pour l’instant, il n’a que cinq points en écriture (il en avait déjà un avant d’habiter avec moi et il vient d’en gagner quatre aujourd’hui). Il a déjà aussi un point en jardinage. Ce sera toujours utile pour notre futur jardin et potager.

 De mon côté aussi, les points de compétence en cuisine augmente. En continuant mon bouquin à la bibliothèque, j’ai obtenu un nouveau point. Avec la construction de la maison, nous n’avons presque plus d’argent (7 Simflouz pour tout vous dire). Alors vous pensez bien que nous n’avons pas eu assez pour s’acheter un évier. C’est encore moi qui vais devoir nettoyer tout ça. Connor jeté une assiette sale ? Nooon, le suivant le fera bien.

Nos travails respectifs nous ont payé nos jours de congé du mariage. Grâce à la modique somme de 414 Simflouz (264 Simflouz du travail de Connor et 150 Simflouz venant du mien), nous avons pu nous acheter un lit double avec en cadeau une belle petite couette. Connor était tellement fatigué d’avoir amélioré son écriture qu’il s’endormit comme une masse. Et mon câlin du soir ?

Le lendemain, nous avons eu de nouvelles factures : 12 Simflouz à payer. Pour le peu qu’on a, c’est raisonnable.

Aujourd’hui, c’est ménage de printemps pour Connor. Il s’est mis en tête de nettoyer toute la maison de fond en comble. Et en sous-vêtements ! Il serait grand temps de faire aussi un ménage de printemps dans ta garde-robe, mon cher.

Connor : *chantonne* Sifflez en travaillant… Tululululu…

Pendant que Connor est en train de nettoyer toute la maison, je suis partie sur le terrain devant notre maison pour apprendre à pêcher. Bah quoi ? Non, je ne suis pas fainéante, c’est juste que je ne veux pas être dans ses pattes. Nuance ! Et puis, ça fait déjà deux jours que je ne suis plus sortie de chez moi. J’ai besoin de me changer les idées avant d’aller travailler. Ce qui est efficace puisque j’ai obtenu mon premier point en pêche.

Au soir, Connor et moi avions envie de se faire une sortie en amoureux. Comme je devais manger avec quelqu’un au restaurant « Le Bistrot Le Petit Corse » pour une opportunité, j’ai proposé à Connor de passer notre soirée à cet endroit. Pour 100 Simflouz, nous avons eu un délicieux repas. En plus, l’ambiance était vraiment à son comble, ce soir-là parce qu’il y avait un anniversaire. Comme mon patron était de la partie aussi, je lui ai montré que je n’avais pas froid aux yeux et j’ai donc chanté à plein poumons « Joyeux anniversaire ». Quant à Connor, il était mal à l’aise et n’arrêtait pas de tirer sur ma robe pour que je me rassoie. Finalement, mon patron fut très impressionné par mon enthousiasme et m’a ainsi augmenté de 6 Simflouz pour me récompenser de mon travail acharné et de mes efforts fournis. Je suis vraiment aux anges ! J’ai même reçu ma paie pour mes congés du mariage : encore 186 Simflouz !

Après cette soirée mouvementée, c’est avec le bidon bien rempli en bonnes nourritures, que nous sommes partis se blottir dans les bras de Morphée. A ce train-là, ce n’est pas demain la veille que j’aurais mon câlin du soir ! Enfin, cela a pu me permettre de déjà réfléchir à la décoration du notre futur bébé.

Le lendemain matin, je suis retourné pêcher au petit lac juste devant notre maison. J’y ai pu attraper deux gros crapauds (quelle taille !), un vairon et deux poissons rouges. J’ai en même temps gagné un deuxième point de compétence. On va pouvoir enfin manger autre chose que du surgelé.

Aujourd’hui, Connor a eu droit à sa première opportunité. Un certain Leighton Sekemoto lui a demandé s’il était possible de lui livrer un de ses livres. Ce Sekemoto lui a assuré une belle somme d’argent et un point de célébrité en échange. Connor a accepté sans hésiter et s’est de suite mis à réfléchir à la trame de son premier roman.

De mon côté, tout va aussi pour le mieux. J’ai enfin obtenu ma première promotion. Faites péter le champagne ! Je travaille maintenant au poste de Mouleuse d’épices. Aujourd’hui, j’ai donc gagné 556 Simflouz (184 Simflouz venant de ma paie habituelle et 372 Simflouz venant de ma prime). Je sens que nous n’allons pas tarder à être riche !

Voici un tout nouveau blog avec un tout nouveau Legacy fraichement pondu. Comme je suis une grande fan des Sims et après avoir lu plusieurs Legacy, je me suis dit que, moi aussi, j'aimerais vous faire partager mes petites histoires. Venez embarquer dans une toute nouvelle aventure avec la famille Smalah. J'espère que vous allez prendre beaucoup de plaisir à lire mon histoire.

CherrySims

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